19 avril 2025

le pen, une histoire d’orientation

Une d’hier, vous avez vu.

France Insoumise.

Nom d’un chien, ce nom parle tout seul.

Sorti de ses villas, le senateur juge Jean Marie le Pen n’en a pas moins les conséquences de sa ville.

Jacques Peyrat, un nom d’un maire d’une circulaire endossant.

La responsabilité d’un double mandat municipal à Nice, sous une épopée Mario Innocentini des années 1984, la trésorerie de la région Zamollo Gilles plombées en dettes pleines expliquées en ressources transversales d’une populaire incitoyenne de levreuse impersonnelle.

une attaque en règle, celle de nos scrutins Philippe Vardon, une légion Valentin Esseyric revenu de la Fiorentina défendre fiorenzitièremment une identité toulonaise débarquée des viols réceptifs d’Antoine Ravanaugh, combattant lepeniste, ou tout simplement de nulle part.

Bandits, malfrats, zoophiliste même, insoumise, Le Foll les Pens d’une méchancité sans défense tchoaienne palade mais encore inopportune d’intérêt médicile.

Le Jean Azoulay III, un sacré dossier, une solution sans bras pour un libéralisme impérial sans Etat.

Celui des gouvernances Alain Tassel et Cagnes Sur Mer.

Jugez, Antibes c’est pas mieux.

N’est ce pas, Sarkozy?

que la Gauche te le rende, Thieiez, ces LE PEN, Maréchal n’en voudra s’en guerre.

Une orientation, une sans issue, une crise.

Gays, zoos, Carolines le Pen, certes d’opinion démocratiques, gouverneurs de la France de demain?

sergio limoli-filho, dimanche 03 février 2019, depuis Nice, France. auteur de ce texte et article.

2019-02-03 11:32:51